Voici Zaz!

Voici Zaz. Je ne l'ai pas connu. Je viens de connaître par la leçon de français. Elle a 33 ans. Deux ans de plus que Hikaru Utada.
 
J'ai entendu sa chanson. Wow. formidable! Impressionnant!
 

Offrez moi une suite au Ritz, je n'en veux pas !
Des bijoux de chez CHANEL, je n'en veux pas !
Offrez moi une limousine, j'en ferais quoi ? papalapapapala
Offrez moi du personnel, j'en ferais quoi ?
Un manoir a Neufchatel, ce n'est pas pour moi.
Offrez moi la Tour Eiffel, j'en ferais quoi ? papalapapapala
 
Je Veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur, ce n'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur, moi j'veux crever la main sur le coeur papalapapapala allons ensemble, découvrir ma liberté, oubliez donc tous vos clichés, bienvenue dans ma réalité.
 
J'en ai marre de vos bonnes manières, c'est trop pour moi !
Moi je mange avec les mains et j'suis comme ça !
J'parle fort et je suis franche, excusez moi !
Finie l'hypocrisie moi j'me casse de là !
J'en ai marre des langues de bois !
Regardez moi, toute manière j'vous en veux pas et j'suis comme çaaaaaaa (j'suis comme çaaa) papalapapapala

 Le parole « j'veux crever la main sur le coeur», ça me rappelle une peinture, «Mort de Barra».

 

On ira écouter HarlemAnnotate au coin de Manhattan
On ira rougir le thé dans les souks à Amman
On ira nager dans le lit du fleuve Sénégal
Et on verra brûler Bombay sous un feu de Bengale
On ira gratter le ciel en dessous de Kyoto
On ira sentir Rio battre au cœur de Janeiro
On lèvera nos yeux sur le plafond de la chapelle Sixtine
Et on lèvera nos verres dans le café Pouchkine
 
Oh qu'elle est belle notre chance
Aux mille couleurs de l'être humain
Mélangées de nos différences
A la croisée des destins
 
Vous êtes les étoiles nous sommes l'univers
Vous êtes un grain de sable nous sommes le désert
Vous êtes mille pages et moi je suis la plume
Oh oh oh oh oh oh oh
 
Vous êtes l'horizon et nous sommes la mer
Vous êtes les saisons et nous sommes la terre
Vous êtes le rivage et moi je suis l'écume
Oh oh oh oh oh oh oh

 

Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
À frôler les bagnoles les yeux comme des têtes d'épingle.
J’t'ai attendu 100 ans dans les rues en noir et blanc
Tu es venu en sifflant.
 
Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
À shooter les canettes aussi paumé qu’un navire
Si j’en ai perdu la tête j't’ai aimé et même pire
Tu es venu en sifflant.
 
Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
A-il aimé la vie ou la regarder juste passer?
De nos nuits de fumette il ne reste presque rien
Que tes cendres au matin
À ce métro rempli des vertiges de la vie
À la prochaine station,petit européen.
Mets ta main, descend-la au dessous de mon coeur.
 
Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
Un dernier tour de piste avec la main au bout
J’t'ai attendu 100 ans dans les rues en noir et blanc
Tu es venu en sifflant.

 
J'ai été impressionné. Je ne peux pas vous en dire plus.